2 juillet 2017
Remington portable 1925
J’évoquais il y a 5 mois (ah bon, déjà ? mais qu’est-ce t’as foutu depuis tout ce temps) l’apparition de nouveaux thèmes. Ils tournent en général autour de l’écriture, sous toute ses formes.
En voici un forme particulière : les machines à écrire.
J’ai du manipuler ma première machine à écrire en même temps que mon premier stylo, autant dire que ça remonte à loin.
Par le plus grand des hasards (non, vraiment ? je te crois pas, ça n’existe pas le hasard), je me suis mise en quête d’une machine à écrire, et j’ai découvert un univers passionnant. Le risque, c’est de vouloir les collectionner, ce qui est très vite ruineux et consommateur de place.
En tout cas, j’ai commencé par acquérir une machine emblématique pour moi, d’un point de vue esthétique : une Remington portable, qui date en l’occurrence de 1925 et qui est en parfait état de marche.
Voici la bête en images, il suffit de cliquer pour voir les images à leur taille originale :
Quelques gros plans maintenant :
Le meilleur pour la fin, les touches typiques des années 20 : les touches sont plates, recouvertes d’un petit support (en papier ?) sur lequel est inscrit la lettre, puis protégées par une pellicule de plastique souple transparent et cerclées par une bague de métal.
-Bon, c’est bien beau les photos, mais elle écrit cette machine ?
Ben oui, elle écrit, et même très bien. Il n’y a que le p minuscule qui pose un léger problème de décalage.
Ci-dessous, un texte de Baudelaire tapé sur un papier sumi-e japonais :
-Mais en fait, ça te sert à quoi une machine à écrire ?!
Faudra attendre le prochain article pour le savoir …
-Dans 5 mois ???!!